Sous la cabane en bois (Pv Akai)

Le sous sol était un endroit chaud et plutôt agréable par le silence qu'il y régnait. Il était revenu voir son acquisition qui dormait toujours. Un peu étonnant. L'anti poison aurait dû faire effet depuis un moment maintenant. Il alla regarder entre les barreaux et vit que la couverture avait bougée. Elle feintait la petite coquine.

Il ouvrit la porte et se posta devant sa couche.

- Ne fais pas semblant de dormir. Je sais que tu es réveillée. On a un programme chargé, tu ferais mieux de te lever et de me suivre. A moins que tu préfères que je t'y force. Mais ce ne sera pas agréable. A toi de choisir. Tu vois j'ai quelques questions qui demandent réponse et il semble que tu puisses me les fournir. Seulement, tu as l'air de ne pas le vouloir.

Il tira la couverture qu'il laissa tomber au sol.

- Tu as un corps parfait, fit il en se baissant pour lui chuchoter à l'oreille. On va bien s'amuser tous les deux. Enfin, surtout moi. Allé, debout.

La jeune fille s'était recouchée et endormie presque aussitôt. Il avait probablement utilisé trop de drogue. Il la regarda dormir un instant, bien couverte sous la couette. Elle était vraiment très jeune. Cela l'ennuyait un peu mais après tout, elle semblait le prendre de haut et faisait tout de même partie d'une famille. Elle ne devait donc pas être la petite fifille toute gentille à sa maman. Reprise d'un sommeil un peu plus agité, Korhus en profita pour la porter jusqu'à la table amovible. Il la déposa sur le fer froid et avant qu'elle n'ait eu le temps de comprendre, ses poignets étaient enserrés dans des anneaux de cuir ainsi que ses chevilles. Ses membres étaient ainsi attachés de part et d'autre de la table faisant que son corps formait un X. Il lui secoua un peu le visage pour la faire revenir à elle.

- On se réveille jeune fille. On va commencer. Plus vite tu parleras, moins tu souffriras. Tu vois, ce n'est pas compliqué. Les questions sont simples. Le nom de ta famille, celui de son chef, ton rang dans ce clan et comment approcher ton chef de clan. Répond déjà à ces questions et ensuite on verra pour la suite.

Tout en parlant il préparait une perfusion qui plaça dans le creux de son coude gauche.

- Allons ne bouge pas. Tu es prise au piège et si jamais tu avais envie de crier, je te mettrais cette boule dans la bouche qui te briserait la mâchoire. Alors débrouilles toi pour retenir tes cris, fit il en lui montrant une boule qui une fois placée dans une cavité, s'écartait au moindre mouvement du sujet.

Il la prit par le menton et fit descendre ses doigts le long de son cou. Elle avait la peau douce et blanche. Ses doigts se promenèrent dans le creux de ses seins pour descendre doucement sur son ventre plat et musclé. Ils s'arrêtèrent à son nombril, tournant autour, pour continuer sur ses hanches et longer lentement ses cuisses. Il voyait ses muscles vibrer un peu. Il remonta lentement, stoppant au bord de son petit short pour glisser un doigt dessous avec un sourire sadique. Il longea le bord du tissus, rasant son pubis à peine caché par le tissus et remonta jusqu'aux petits lacets qui fermaient son soutien gorge. Il n'avait qu'à tirer dessus pour découvrir sa poitrine. Il plongea son regard dans le sien, tirant un peu pour lui faire peur et finalement se contenta de passer une main par dessus le tissus, caressant ses seins avec délicatesse.

- Je te laisse une petite minute pour me répondre ensuite....

Il s'écarta de la table et tira une tablette roulette sur laquelle était déposé une seringue et des petits flacons de produits.

- Celui-ci est fait pour aiguiser tes sens. Lorsque le produit se sera infiltré dans ton sang, tu sentiras mes caresses amplifiées et ton corps deviendra si sensible que le moindre contact te deviendra insoutenable et tu en réclamera plus pour ressentir encore ce désir fou qui te pénétrera. Mais c'est à double tranchant. Si une simple caresse peut aiguiser tes désirs, la douleur peut elle être ressentie au centuple.

Il souleva deux flacons :

- Un pour le désir et apaiser tes souffrances, un pour les amplifier. A toi de choisir selon les réponses que tu me donneras.

Il enfonça la seringue dans un des deux, aspira son contenu et l'injecta dans la perfusion.

- Ha, j'ai oublié de te dire. Comme c'est une expérience, je ne vais pas te laisser le temps de répondre. Nous commençons tout de suite. Tu vas bientôt sentir ton sang bouillir. Tu vas avoir très chaud et tes nerfs vont être comme transpercés par des milliers d'aiguilles. Une dose ne te fera que peu souffrir mais te donnera une idée de la suite petite insolente.

Il prit un bloc, un stylo et commença à noter les effets sur les moniteurs qui contrôlaient les réactions du corps de la jeune femme.

- Que j'arrête ? Mais on vient à peine de commencer. je suppose que tu as senti les petits picotements. Ce n'est rien par rapport à ce que tu vas ressentir au fil des injections.

Il lui pinça la hanche assez fort pour lui faire une petite marque.

- Ca n'a pas fait trop mal encore. Voyons si on augmente la dose.

Il lui injecta un peu plus de produit et attrapa un bout de bois d'environ cinquante centimètre en forme de triangle. D'une main il souleva le dos de la jeune fille et glissa le bois sous ses reins pour l'obliger à cambrer le dos le plus possible. La position devait être fort désagréable et douloureuse au bout d'un certain temps. Il vit son corps briller par la sueur qui passait par ses pores. Le produit faisait effet.

Il lui glissa un morceau de cuir dans la bouche :

- Mors. Ca t'aidera, lança t'il.

Il toucha son ventre tendu. Sa peau frémissait au moindre contact. Il plaça un autre bout de bois derrière sa nuque pour que sa tête penche en arrière.

- Alors petite, tu as quelque chose à dire ? fit il en plaçant la piqûre et injectant une nouvelle dose qui allait très vite créer les pires réactions. Il n'était encore jamais allé jusque là et était curieux de voir comment son cobaye allait réagir.

Elle finirait par ne plus pouvoir tenir le dos cambré. Elle résistait pourtant et cela le fit sourire. Sa tête hochait pour lui dire d'arrêter mais Korhus n'avait aucune pitié. Tout ce qui comptait pour lui était le résultat de son expérience. Le reste importait peu. Il tint encore le bout de ses seins en les serrant tout en observant son cobaye dont le visage était quelque peu déformé par la douleur. Il la fixa dans les yeux pour les voir se mouiller un peu et enfin relâcha son étreinte.

- On va se faire une petite pause, fit il soudain.

Il retira le plot sous son cou et lui redressa la tête. Il la laissai un instant ainsi, sans la toucher et se déplaça dans son laboratoire. Il prit un livre qu'il consulta, puis relut ses notes sans vraiment la regarder. Elle n'était qu'un cobaye pour lui, rien de plus. Elle semblait se détendre malgré le produit qui courrait dans son sang. Il vérifia le monteurs avant de revenir s'asseoir à côté d'elle. Elle tremblait toujours forçant sur ses muscles pour ne pas poser son dos sur la pointe. Il était encore trop tôt pour continuer. Il fallait qu'elle se calme un peu avant. Il se releva et sortit quelque chose du réfrigérateur avant de revenir s'installer. Il lui essuya le visage avec un linge et écarta une mèche de ses cheveux qui courait sur son front.

- On va reprendre.

Il tira sur la sangle pour l'obliger à forcer encore plus sur ses muscles qui tremblaient sous l'effort. Son dos était presque sur la pointe. Il prit une seringue et la remplit avec le produit en le lui montrant pour qu'elle comprenne que son cauchemar n'était pas terminé. Il l'injecta lentement et très vite les réactions se firent plus fortes qu'auparavant. Elle claquait même des dents.

- Prête pour une nouvelle décharge ?

Il ,joignit le geste à la parole. Et tout son corps vibra sous ses cris. Elle respirait fort, sa poitrine se soulevait et s'abaissait péniblement, rapidement. Il cessa et lui planta des aiguilles qu'il vrillait jusqu'à ce qu'elle gémisse de douleur. Une à une sur chaque partie de son corps les plus sensibles. Il posa une main sur sa gorge qu'il serra un peu et lui souleva la tête pour remettre le cône de bois derrière sa nuque.

Trois heures et ses tremblements devenaient incontrôlés. Son dos n'était plus qu'à quelques millimètres de la pointe mais elle tenait encore.

- Laisses toi aller, lui fit il sournoisement en lui attrapant la pointe de seins regardant son regard s'affoler parce qu'elle savait ce qu'il allait faire.

Il serra lentement, de plus en plus fort. Il n'attendait qu'une chose, qu'elle faiblisse et que son dos se pose sur la pointe. Elle finirait par lâcher. Ce n'était qu'une question de temps. Il libéra sa poitrine et prit un sachet de glace qu'il passa sur son corps à demi nu. Il allait tout doucement, faisant naître des milliers de frisson. Il s'attarda sur ses seins chauffés à blanc par les pincements, puis dans son cou. Toute cette douleur qu'elle avait emmagasinée s'apaisait sous le froid. Seul son dos souffrirait aussi longtemps qu'il la laisserait contrainte à le tenir cambrer. La glace passait sur son ventre et ses hanches, finissant sur ses cuisses brûlantes. Cette froide caresse parcourait son corps jusqu'à ce que ses lèvres tremblent. Il revint à son cou qu'il serra d'une main comme pour l'étouffer. Il faisait tout pour l'épuiser mentalement et physiquement. Son dos faiblissait alors il continua de plus belle, accélérant ses gestes. Ses mains palpaient sa poitrine pour faire ressortir ses pointes et présenta sous ses yeux deux pinces pour les piéger.

- Que choisis tu ? Les pinces ou le dos. En sachant que tu finiras par ne plus pouvoir le tenir bien longtemps cambré. Tu ne pourras t'offrir qu'un petit sursis.

La petit insolente résistait bien plus que ce qu'il avait pensé. Ainsi elle ne craquerait pas. Et bien puisqu'elle sembler vouloir souffrir, il ferait ce qu'il faudrait pour exhausser ses voeux.

- Tu le prends à la rigolade. Comme c'est trognon de te voir tout tenter alors que le résultat sera inévitable. Crois tu tenir ainsi toute la nuit ? Tu finiras par poser ton dos. Rassures toi, elle n'est pas assez pointue pour te faire saigner, mais arrondi pour s'enfoncer dans tes reins. Je n'ai pas de petits coussins mais on peut trouver mieux.

Il entoura son cou avec un collier en cuir qu'il serra assez pour gêner sa respiration. Elle ouvrait la bouche pour chercher l'air. Il fronçait les sourcils, étudiant sa victime. Il prit un flacon de l'aiguiseur de douleur et le mélangea avec un autre produit, secouant la bouteille calmement.

- Avec ça, tu penseras que ton corps est en feu. Un mélange spécial qui va te donner une soif épouvantable que je vais gentiment entretenir.

Il la fixa et lui injecta le produit avant de l'obliger à boire une eau excessivement salée.

- Cela va mettre quelques minutes pour que tu ressentes les première réactions en attendant, ton insolence mérite que je pousse un peu plus loin l'expérience.

Tout en la regardant, il tourna une petite molette pour régler les pinces au maximum. Il serra l'un de ses petits seins et plaça la pince tout en la regardant.

- Prépares toi, fit il en plaçant les pinces au bout de ses mamelons et les lâcha en même temps pour emprisonner les bouts dans un pincement insoutenable.

Il la sentait flancher. Son hurlement résonna contre les murs insonorisés. La tension était au maximum. Il la vit tirer sur la lanière en se cambrant le plus possible. La douleur que provoquait les pinces était insoutenable. Elle gémissait alors qu'il tirait un peu dessus, voyant les tétons écrasés devenir rouge. Les moniteurs indiquait que son corps commençait à la brûler de l'intérieur. Elle transpirait beaucoup et voyait des gouttes glisser sur son ventre pour couler dans son dos et tomber contre la table. Elle ouvrait la bouche qui devait devenir sèche. Sa respiration était saccadée et difficile.

Il n'avait qu'à attendre pour qu'elle soit assez affaiblie pour se laisser tomber sur la pointe. Il se baissa pour regarder la distance qui la séparait de la pointe. Elle la touchait de temps en temps et forçai sur ses abdominaux pour se cambrer de nouveau.

Il sortit un scalpel et la regarda, lui soulevant les paupières pour lui montre la lame.

- Tu dois avoir très chaud, non ?

Il passa la lame entre sa peau tremblante et son short et tailla la couture jusqu'à ce qu'il tombe, la mettant totalement nue afin de créer une gène supplémentaire et de l'humiliation de laisser voir son intimité alors que ses jambes étaient écartées. Elle continuait à gémir, plus faiblement comme si elle s'habituait à la douleur provoquer par les pinces. Il les attrapa et de tira de nouveau dessus lui injectant un peu de courant pour la faire réagir. Des fractions de secondes qui ne faisait que la secouer un peu. Il prit la glace et la lui passa sur les seins autour des mamelons brûlants. Faisant couler un peau d'eau glacée. Pas pour la soulager, au contraire. Le froid fit immédiatement gonfler la pointe qui se trouva encore plus prise au piège. Il ne pouvait plus lui injecter de pro duit sans prendre le risque de la tuer. Alors il se contenta de jouer avec son corps. Les glaçons continuaient leur caresse descendant sur son ventre qui se rétracta. Un fin filet d'eau coula sur son bas ventre, glissant sur son pubis pour s'insérer lentement dans sa fente. La main de Korhus poussa la poche gelée plus bas encore jusqu'à toucher son intimité. Ses jambes tremblaient. Il les refroidit comme le reste de son corps, ignorant ses gémissements. Elle allait tomber. Il le sentait. Elle était au bout.

- Laisses toi aller. Ca fait cinq heures. Tu as le droit de te reposer. Relâches toi, fit il en posant ses doigts sur les pinces. Tu ne veux pas que je les serre plus. Abandonnes.

Il serra ses doigts et la vit doucement craquer.

Ses muscles ne la soutinrent plus et elle tomba sur la pointe de bois. Aussitôt Korhus serra la sangle pour qu'elle ne puisse pas se redresser. Ses cris étaient terribles. Il posa une main sur sa bouche et lui parla doucement pour la calmer.

- C'est fini... calme toi, fit il. Je vais commencer à te soulager.

Il allait doucement pour faire ce moment entre le fait de savoir qu'elle serait soulager et qu'elle le soit en réalité. Il souleva sa tête lentement et retira d'abord le bout de bois sous sou cou. Il s'occupait du collier en cuir au lieu de se charger des pinces qui était probablement la chose la plus douloureuse.

- On y est presque.

Il allait tout doucement, desserrant la première pince en tournant la molette écartant lentement les dents qui lui infligeant tant de supplice. Le premier mamelon fut enfin libre mais la douleur devait encore se ressentir à cause des drogues qu'il lui avait injecté. Il passa à la seconde et procéda de la même manière. Il passa un linge frais son son corps pour l'aider à supporter la sensation de chaleur et vérifia que la sangle était bien tendue. A chaque fois que son dos s'abaissait un peu plus, il la resserrait.

Il lui essuya le visage et recommença à prendre des notes. Sa bouche était de plus en plus sèche. Il était évident que d'être totalement nue devant lui la gênait. Il regarda l'heure. Il était trois heures du matin. Alors qu'elle devait souffrir le martyr dans la position dans laquelle elle était, il décida de l'humilier un peu plus. Il prit une baguette de bois et écarta les lèvres de son intimité, commentant ce qu'il voyait. La chaleur continuait à monté et sa température le prouvait. Elle était à 38 degré. La fièvre la gagnait et continuerait certainement à monter un peu. Il continuait son inspection et passa le glaçon sur ses seins pour la soulager un peu. Il regarda de nouveau l'heure. Trois heure trente. Une demi heure qu'elle tremblait comme une feuille à gémir et poussait de petits cris. 38,5. Elle allait avoir de plus en plus soif.

- Il est temps de te reposer maintenant.

Il retira la sangle et le bout de bois. Elle était très faible. Il défit ses liens et la porta jusqu'à sa cellule pour l'allonger sur le lit. Il déposa la couette sur elle et lui chuchota :

- Essaye de dormir un peu.

Il lui donna un peu d'eau et reposa sa tête avant de sortit de la pièce qu'il referma à clef. Il la laissa se reposer deux bonnes heures afin qu'elle récupère.

- Bien. Têtue à ce que je vois. Pas grave. On va reprendre là où s'est arrêté cette nuit. Je suis certain que tu vas apprécier, fit il en lui pinçant un mamelon.

Il lui remit une perfusion dans le bras et approcha la table à roulette. Cette fois-ci il choisit les autres bouteilles, remplissant la seringue.

- On va faire un petit panache. Tu as bien souffert, il est temps que tu prennes un peu de plaisir. Mais avant, ajouta t'il en lui pressant les joues pour qu'elle ouvre la mâchoire, on va t'obliger à garder la bouche ouverte.

Il lui glissa comme un mors de boxeur qu'il bloqua pour qu'elle ne puisse pas fermer la bouche, puis lui mit une petite pince sur les narines pour qu'elle ne puisse plus respirer par le nez. Sa bouche deviendrait sèche comme un poisson sur la plage. Il lui enfourna un chiffon dans la bouche qu'il ressortit pour lui essuyer l'intérieur et y posa une pincée de sel. Elle avait déjà très soif, mais là ce serait pire. Il injecta ensuite la drogue qui devait doubler ses sensations.

- Je me demande si tu as déjà connu l'amour. Un homme t'a t'il déjà possédé ? Sais tu ce que c'est que de sentir la douceur d'une main ouvrant tous tes sens dans la pure expression du plaisir ? Tu va bientôt réclamer que j'assouvisse ton désir.

Il commença à masser ses pieds pour la détendre, puis ses cuisses pour arriver sur son ventre sur lequel il appuyait en remontant sur sa poitrine qu'il effleura peine pour ensuite masser son cou endolori. Il fit en sorte de la détendre le plus possible par des massages ciblés sur ses muscles tendus. Le produit commençait à faire effet et sa respiration s'accèlera. Ses mains devinrent alors plus caressantes. Il passait sur son ventre qu'elle creusait sous sa douceur. Il travailla cette partie qui devenait sensible par ses touchés. Il longea ses bras, descendant le long de son corps jusqu'à ses chevilles. Elle répondait à ses caresses par de petites respirations. Il éveilla ses sens les plus simples pendant une bonne demi heure avant de lui injecter une nouvelle dose qui comme la veille la fit chauffer à outrance. Sa température monta un peu et lui continuait ses caresses incessantes, lui passant une plume sur tout le corps évitant les zones sensibles.

Il voyait son corps bouger, répondant à ses attentions. Il passa alors les mains sur sa poitrine, roulant ses pointes avec une extrême douceur. Ses seins pointaient pour en demander plus. Il persista sur cette partie, faisant naître le désir accentué par les injections. Son souffle devenait saccadé et sa soif devait être torride à présent. Ses lèvres étaient sèches et se craquelaient. Il abandonna sa poitrine pour descendre le long de son ventre, caressant son pubis et glissa les doigts dans son entre jambe humide. Elle prenait plaisir à ses attouchements délicats. Il trouva son bouton d'amour dont il s'occupa avec attention l'abandonnant avant que le désir ne soit trop fort.

Elle respirait de plus en plus vite, son corps se cambrant autant que ses liens le lui permettaient. Le désir était là, profond, alors qu'il n'irait pas jusqu'à l'assouvir.

- Si tu veux me donner ton nom, serre une main, fit il tout en triturant la pointe de ses seins d'une main et de l'autre caressant son intimité, écartant les lèvres fines pour mieux atteindre son clitoris qui durcissait sous le plaisir. Tu dois te sentir faible de réagir si facilement à mes mains, ses mains qui peuvent te faire souffrir à volonté et qui à cet instant te procure du plaisir.

Il s'écarta d'elle, la laissant se remettre un peu.

- Ton nom ? demanda t'il de nouveau.

Il lui retira le mors pour lui laisser la possibilité de répondre. Elle devait mourir de soif. Il devait s'assurer que la drogue ne perde pas ses effets et lui injecta une nouvelle dose qui la chauffa encore plus que la précédente.

Elle réagissait exactement comme il l'attendait. Son corps semblait en réclamer plus même si elle voulait ne rien montrer. La dose supplémentaire la fit réagir plus vite et plus fortement. A ce instant elle devait avoir une soif épouvantable et le moindre centimètre de son corps devait la chauffer. Elle réclamait de nouveau ses vêtements. Chose qu'il ne lui donnerait pas. Pas tout de suite dans tous les cas. Bien au contraire. Il sentait qu'elle était encore tellement mal à l'aise d'être nue devant lui que cela l'incitait à lui refuser le moindre habit.

- Tu es très bien ainsi. En plus il fait très chaud dans cette pièce. Pas besoin de vêtements et tu es si belle. Tu ne voudrais pas me priver de ce spectacle.

Il lui souleva la tête et mit un verre au bord de ses lèvres mais retint l'eau pour qu'elle ne puisse pas en boire. Il trempa un doigt à l'intérieur et laissa tomber une goutte dans sa bouche entre ouverte. Il retira la pince qu'elle avait sur le nez. Sa soif était suffisamment importante, elle n'arriverait pas à l'épancher avec un peu de salive qu'elle n'avait certainement plus d'ailleurs. Il ne s'occupa plus de cela et revint à s'occuper d'elle de manière plus intense.

- Tu es une très bon cobaye. Je tiens à te féliciter pour ta ténacité. Ta fatigue est normale mais sache que tu n'es pas malade. Je vais t'injecter un petit remontant. Juste de quoi tenir quelques heures encore.

En fait, elle n'avait dormi que deux heures. Ca, plus les drogues et la torture de la veille l'affaiblissait. Il fallait donc la raviver pour pouvoir continuer. L'injection faite, Korhus se pencha vers elle.

- Détends toi, fit il.

Il reprit ses massages des pieds. Ses pouces roulaient sur sa peau humide. Ses cuisses galbées se détendaient alors que ses mains approchaient de son intimité. D'un geste, il desserra les taquets et écarta ses jambes, la voyant rougir de nouveau.

- Tsss. C'est normal que tu es honte. Mais cette position n'est rien. Tu verras bien pire.

Il massa son entre cuisse, approchant de plus en plus de son intimité jusqu'à ce que ses doigts l'effleurent pour masser les fines lèvres, caressant son bouton d'amour. Elle réagissait, se tendant, respirant de plus en plus vite, jusqu'à ce qu'un doigt écarte les lèvres pour la pénétrer tendrement, faisant un va et vient pour lui procurer du plaisir qu'elle semblait apprécier. Il stoppa pour remonter sur son ventre, poursuivant son massage, pétrissant ses seins avec douceur, roulant ses bouts, les pinçant très légèrement, s'attardant un peu avant de remonter vers son cou. Il la sentait détendue et pourtant son corps restait insatisfait. Il n'irait pas jusqu'à lui donner le plaisir ultime. Une nouvelle injection aiguiserait tant ses sens qu'elle réclamerait ses mains. Il la vit se mordre légèrement la lèvres, elle irait au bord de l'extase sans jamais l'atteindre. Il continuait de la caresser avec douceur. Ses muscles tressautaient d'envie, son dos se cambrait, ses seins pointaient et son souffle ne trompait pas. Il tourna sur son nombril, descendant sur son pubis, s'arrêtant avant les profondeurs de son intimité. Il attendait le moment où elle réclamerait qu'il aille au bout, qu'il fasse plus. Une nouvelle injection chauffa son corps à blanc. Elle se cambra sous le plaisir. Il savait que le contraste entre le chaud et le froid la rendrait que plus sensible. Il passa un glaçon sur son ventre qui se rétracta mais qu'elle plaisir cela devait être que de se sentir rafraîchir avec la chaleur torride qu'elle devait ressentir. Il passa le glaçon sur ses seins brûlant et le serra pour qu'un fin filet d'eau tombe sur son intimité. Plaisir ultime que cette sensation coulant entre ses lèvres.

La dernière injection était mélangée avec un léger hallucinogène, la plongeant dans une petite rêverie sans plus.

- Tu en veux encore ? lui chuchota t'il doucement à l'oreille.