A la montagne, agne, agne ! [rp terminé]

Cette île aussi inquiétante que mystérieuse ne présageait rien de bon, un manoir bien entretenu, mais inhabité, des personnes qui apparaissent et disparaissent tout aussi vite, enfin bref, que des trucs bizarre. Comment voulez-vous que je ne m’inquiète pas, surtout qu’il y a des civils incapables de se battre dans ce cocktail de familles mafieuses. Mais bon, je ne vais pas faire crise nerveuse parce que ceci ou cela ne me convient pas ou ne m’inspire pas confiance, encore heureux parce que sinon je pourrais perdre mon titre que j’ai mis tant de temps à acquérir, monde aigre et cruelle, attendez, mais qu’est-ce que je raconte moi, je ne suis pas sur le point de le perdre, il ne manquerait plus que ça. Déjà que j’ai perdu mon anaconda je ne sais où, pourtant une bestiole aussi grosse, ça ne se perd pas en chemin…

A oui pardon j’allais oublier le détail le plus important oui donc comme vous venez de le lire j’ai perdu un anaconda, (et pas de commentaire) donc je suis parti du manoir pour aller le chercher munit du soutient aérien qu’est mon faucon. L’une des nombreuses choses que vous devriez savoir c’est que mes boîtes animalières sont très joueuses et ne perdent pas une occasion de s’amuser, en l’occurrence, le jeu préféré de l’anaconda est celui de cache-cache c’est plutôt amusant, sauf quand on est sur une île paumé au milieu de nulle part avec des choses étranges qui se passent dessus et il se trouve que nous sommes dans ce cas là.

Je marchais d’une pas lourd et assez fatigué, la longue exploration de l’île m’avait bien fatigué et encore ce n’était pas finit, mon serpent restait toujours introuvable et mon degrés de stress avait depuis longtemps outrepassé la zone dangereuse pour mon organisme. Autant avant je marchais dans de l’herbe émanant une odeur de fraîcheur fraîche, autant maintenant je marchais sur de la caillasse, qui avait une odeur de caillasse mouillée, pourquoi mouillée, je ne sais pas et ne demanderais pas. Je continuais d’avancer droit devant, rien à l’horizon, pas un bout de queue, pas une écaille, rien.

-Anacondaaaa, Nanacondaaaa, viens voir Papa éclair ! Mais où est-ce qu’il peut-être…

Mon faucon vint se poser sur mon épaule droite après que j’ai finit de crier comme un hurluberlu des cavernes attardée. J’en pouvais plus et apparemment Falco non plus, en général quand il se pose sur mon épaule, sans tâter le terrain avec ses pâtes, c’est qu’il n’en pouvait plus, pauvre de lui il avait surement plus travaillé que moi, enfin bon, je n’ai pas chaumé non plus.

*A chaque fois, il faut que déplace des montagnes pour ne retrouver…Mais attends une seconde *

Certain me traiterez de bigleux, mais je venais à peine de me rendre compte où j’étais, perdu entre autre, non pas ça, mais devant une sorte de petite montagne, petite entre guillemets et moi qui croyais que c’était une butte de terre, tu parles. J’étais presque certain qu’il est là-haut, au sommet entrain de faire je ne sais quoi. Et je commençais mon escalade périlleuses, pourquoi périlleuses, parce que j’avais faillit tomber de cinq mètres, dix mètres et quinze mètres de haut, étrangement c’était tout les cinq mètres, même les bébés montagnes étaient contre moi maintenant, la poisse. Mais ça en valait la peine, parce que devinez qui j’ai trouvé au sommet, mis à par un grizzli et l’abominable homme des montagnes, mon anaconda. Les retrouvailles furent chaleureuses, entre le croche pieds quand je me dirigeais vers lui et le faite de vouloir me manger tout cru, j’étais aux, aux, aux enfers, j’arrivais à peine à respirer, mes muscles me faisait terriblement mal et lui il m’en faisait voir de toutes les couleurs et le pire c’était qu’il lui restait encore des flammes de la foudre à ce bougre d’âne, de serpent pardon. Mais qui aurait cru qu’en réalité je n’étais pas au bout de mes peines, bien au contraire, elle commençait.

Après avoir longuement discuté sur la stratégie employé par Anaconda pour rester aussi longtemps avec ses flammes sans se restaurer, enfin nous descendîmes tous les trois, le faucon, l’anaconda et moi-même personnellement bonjour. Une fois en bas nous fîmes une rencontre du troisième type…

Qu'est-ce qui m'avait pris de prendre ce bateau?! Je savais pourtant que j'avait le mal de mer! Mais non, je n'ai fait qu'a ma tête et j'ai pris ce foutu bateau de croisière et maintenant me voila sur cette ile de merde. C'est bien ma chance. Si seulement je n'avait pas été aussi orgueilleux et si j'avait refusé de venir comme j'avait voulu.! Depuis que nous avons échoué et découvert le manoir, je me suis dirigé d'un pas décidé dans la forêt, tout en hurlant des "VOOOIIIII!!" de plus en plus sonores. Je me cassait les oreilles moi-même. Comment j'allait faire pour résister à la terrible attraction que j'avait pour Xanxus maintenant?

Je décida de prendre une pause pour évaluer la situation. Premièrement, j'était sur une île ou toute chance d'évasion était voués a l'échec. Deuxièmement, je ne savait pas comment réagir face aux sentiments que j'avait. Et troisièment, je m'était perdu. Je ne pu m'empêcher de hurler:

-VOOOOOIIIIIIIIII!!!!!!!!!!!!!!!

Mon cri résonna dans toute la forêt. puis je décida de m'orienter vers la montagne. On ne sais jamais, peut-être que si j'arrivais au sommet j'apercevrai le manoir. C'est donc ce que je fit. je marcha d'un pas décidé, regardant ou je marchait. Je ne levait les yeux que pour regarder si j'allait dans la bonne direction. J'était arrivé au pied de la montagne lorsque j'entendit un bruit. je leva les yeux, pret a une éventuelle attaque. C'est alors qu'un jeune homme sorti des arbres. Derrière lui suivait un énorme serpent et sur son épaule reposait un faucon. Le garcon avait des cheveux et des yeux noirs, qui fesait ressortir sa peau pâle. À mesure qu'il s'approchait, je me trouva soudain petit. Hé oui, ce jeune adolescent me dépassait d'un bon 10 cm.! Puisqu'aucun de nous ne voulait parler le premier, je me sacrifia. Après tout je devait savoir si j'était réelement perdu.

-Qui es-tu? Je ne me souvien pas t'avoir vu à bord du bateau.

Devant moi, un homme d’une vingtaine d’année à vu de nez. Comme la plus part du temps, j’étais plus grand que lui, mais avec un regard bien moins agressif, déjà, il avait de long, très long cheveux blanc-gris, une épée attachée à la main gauche, des yeux bleus menaçant, quel programme et moi qui croyait que j’avais finit pas saleté de journée, il a fallut que ce type vienne devant moi. Il me faisait un peu peur quand même au fond, mais bon à la moindre action suspect, mes boîtes étaient là prêtent à l’attaque. Le soleil commençait à sérieusement se coucher derrière l’horizon, quand l’homme en face de moi commença à parler, autant vu de face je ne l’avais pas reconnu, autant maintenant je commençais à peut-être entrevoir le début d’un croquis flou de quelqu’un, en gros, je ne sais pas encore qui c’était, mais je savais que l’avais déjà vu quelque part :

-Qui es-tu? Je ne me souvien pas t'avoir vu à bord du bateau.

Tout d’abord, je ne répondis pas, il ne m’avait même pas dit bonjour, c’était vexant, en plus qui me dit que lui il y était sur le bateau. Je plissais légèrement mes yeux, d’un air suspicieux et lui répondit avec un ton sarcastique et moqueur :

- Oui bonsoir, moi, aussi je suis ravi de vous rencontrer…

Je m’attendais à une réponse négative de sa part, du style : << Ne joue pas à ça avec moi >>, << Je vais te faire regretter de m’avoir parlé sur ce ton >>, enfin le genre chose qui me permettait de cataloguer les gens sur le coup, mais sans me demander quel réponse, dans tous les cas s’il disait quelque chose, même positif ou gentil je lui aurais répondu :

-D’abord qui me dit que vous vous y étiez sur le bateau, parce que moi je suis sûr d’y avoir était, en revanche vous…

J’avais insistez sur le vous en le prolongeant, s’il ne c’était pas reconnu, c’était qu’il était vraiment nul…

Il me regarda en silence pendant un moment, puis me dit, d'un ton sarcastique, les yeux plissés:

- Oui bonsoir, moi aussi je suis ravi de vous rencontrer...

Bon, je l'avait vexé. Ça se voyait comme le nez au milieux de la figure. Mais bon, ce n'était pas ma faute si j'avait une humeur de merde!

- Ouais, J'en suis sur... marmonnais-je.

Puis d'un ton enfantin franchement énervant, il répondit:

-D’abord qui me dit que vous vous y étiez sur le bateau, parce que moi je suis sûr d’y avoir était, en revanche vous...

Il m'insultait en plus! Je ne pus contenir ma rage.

- VOOOOIIIIII!!!! Je suis Superbi Squalo, Commendant de la Varia espèce d'imbecile! Et si tu m'insulte encore, ta gorge ressemblera a une fontaine de vin dans quelques secondes!

J'était vraiment insulté. Je devait me retenir pour ne pas lui trancher la gorge net. Cependant, je devait garder mon calme, car un mort ne peux pas parler et que je devait savoir s'il savait ou était le manoir. C'est alors que je remarqua que l'adolescent avait vraiment eu peur. Ça se voyait dans ses yeux. Je lacha donc le col desa veste que je tenait d'une main et éloigna l'autre portant l'épée de sa gorge. Je remarqua alors que j'avait agis avec une telle rapidité que son faucon se dirigeait encore vers moi et que son anaconda grimpait le long de ma jambe. Je jetta un regard au faucon qui se retourna sur l'épaule de son maitre. J'agita aussi ma jambe emprisonné et réussis, au bout d'un moment, a me débarrasser de cette créature énervante. Je me repris. Je savait bien que maréaction était éxagerée, mais ce n'était pas le bon moment pour tomber sur moi. Bien que je ne ressenti aucun remord, je m'excusa. Après tout, je devait gagner sa confiance. Il a du sentir que ce n'était pas sincère du tout, car il se recula encore de quelques centimètres, d'un air suspicieux,

- J'ai fait l'effort de m'excuser, même si je n'aurait eu aucun remord a te tuer il y a une minute alors, aurais-tu l'amabilité de répondre a ma premièere question... Qui es-tu?

Je ponctua ma phrase d'un regard entendu qui disait clairement à quel genre de mec il avait affaire.

- VOOOOIIIIII!!!! Je suis Superbi Squalo, Commendant de la Varia espèce d'imbecile! Et si tu m'insulte encore, ta gorge ressemblera a une fontaine de vin dans quelques secondes!

Suivit de sa phrase, il m’attrapa par le col, et mis sa lame collée au dos de sa main gauche sous la gorge. Effectivement, ce genre d’individu ne valait même pas le détour, mais quand on y repense à deux fois, les Varia étaient tous des enfants pourris gâté se croyant la crème de la crème. Que rajouter à ma description personnelle de la Varia ? Le fait qu’ils se croivent supérieur à tous et se font écraser par mon Boss n’étant même pas à pleine puissance ? Sûrement. Je pensais à cet instant même que franchement, me faire tuer par un saut d’émotion de la par de ce Squalo serait une honte envers les longues années que j’ai passé à m’entrainer et à me battre au côté de mes enseignants et de mon boss, oui bon c’est vrai n’exagérons pas, il est vrai que j’ai passé plus de temps avec la famille m’ayant tout appris qu’avec le Vongola Decimo. Mais vous me demanderez pourquoi je dis un saut d’humeur, c’est simple, quelqu’un qui ne serait pas entraîné par ses pulsions meurtrières ou autre sentiments menant à vouloir tué autrui aurait remarqué immédiatement le faite que ma main droite était sur le manche de mon katana dénué de garde.

Soudain l’impensable arriva, une araignée, sur l’épaule droite de Squalo, le genre d’araignée détestable à cause de ses longues pattes son corps assez volumineux, enfin non, pas vraiment, mais comme vous le savez je suis arachnophobe (phobie des araignées), alors j’ai tendance à exagérer les proportions du tout au tout, sans oublier le fait que de voir une araignée crée en moi une immense envie de détruire tout sur mon passage et alors que ça soit Varia ou pas j’en avait rien à faire. J’essayais de garder mon calme, chose très difficile, mon sabre était toujours dans son fourreau, j’avais d’énorme progrès au fond, mais pas suffisamment, car mon visage exprimé profondément ce que je ressentais, de la terreur avec un soupçon de colère agrémenté par quelques petites touches d’agacement. Sans oublier que son corps était sombre et que la luminosité baissait de plus en plus… J’avais complètement oublié le commandent de la Varia, enfin bon, s’il pouvait s’éloigner de moi ce serait déjà un bon début, mais il ne fallait pas trop rêver, cette tête de mule prendrait sûrement du plaisir à me faire peur de cette manière, dommage que ce ne soit pas lui la cause, mais la bestiole sur son épaule.

Enfin, il lâcha le col de mon manteau noir aux nuages rouges sang bordés de blanc, éloignant ainsi la bête un petit peu plus de moi et son épée, me permettant ainsi de reprendre mon calme légendaire et de reprendre mes anciennes idées, ci toute fois elles soient encore présentes dans l’organe me servant de cerveau. Puis Falco et Anaconda, pour une raison que j’ignore allèrent vers lui en exploration si je puis dire, car au final je peux peut-être comprendre vaguement leurs attente, mais en aucun cas je n’ai appris à parler le faucon ou le serpentard et oui, je ne m’appelle pas Harry Potter, à moins que *. Mais me méfiant de la réaction de l’individu braillard et de son caractère impulsif, je préférais faire revenir mes bêtes vers moi. En penchant très légèrement la tête et détournant rapidement mes yeux vers mon épale gauche, j’indiquais au faucon de revenir sur mon épaule, ce qu’il fit au même moment où Squalo lui jeta un regard l’encourageant à fuir, puis regardant mon anaconda avec un visage sévère et bougeant très légèrement le visage vers la droite, je lui indiquais de lâcher ce ‘’pauvre homme’’. Après tout, Anaconda était une boîte de défense, donc ce coller à un possible et j’insiste sur le possible opposant n’était vraiment pas une bonne idée, de plus mais mouvement de tête ne furent pas intercepté par le Varia, encore frustré par la remarque que je lui ai faite quelques instants plutôt.

Je me fis la remarque du fait que l’araignée, n’était plus sur l’épaule, non, mais à mes pieds et au même moment Squalo s’excuser d’une manière peu sincère, mais c’était déjà ça. L’araignée allait doucement vers moi (punaise c’est un film d’horreur), l’idée qu’il est envoyé vers moi me fit faire un regard suspicieux, voir vraiment à ce demander s’il n’y avait pas un complot dans le coin. Alors prenant mon courage à deux mains et deux pieds pour insister et splatch, omelette d’araignée, quel soulagement, enfin libéré de l’angoisse numéro 1, il ne restait plus que l’angoisse numéro deux, trois et quatre, qui dans l’ordre donnent, retrouver le manoir dans la pénombre, donner à manger à mes animaux et Squalo, le moins important des trois soucis restant. Il finit par m’adresser la parole :

- J'ai fait l'effort de m'excuser, même si je n'aurait eu aucun remord a te tuer il y a une minute alors, aurais-tu l'amabilité de répondre a ma premièere question... Qui es-tu?

Je me raclais la gorge avant de répondre d’un ton neutre :

-Je suis Pietranera Ray, homme de main des Vongola et si ça ne te dérange pas, j’aimerai pouvoir rentrer au manoir car comme tu peux le remarquer le soleil est sur le point de ce coucher et je doute que ça soit une bonne chose pour nous de traverser une forêt inconnu ou même de rester ici, alors à moins que tu ne cherche quelque chose de particulier, je te propose que l’on sur le champ. Oh et j’allais oublier, tu ferais mieux de faire attention à ce que tu fais, tu pourrais te faire mal…

Durant le passage du soleil, mon index pointa l’astre se couchant de plus en plus vite, quant à mon regard, lui il ne laissé s’échapper aucune émotion, puis faisant rentrer mes boîtes pour qu’elle se repose, je m’assis sur l’un des nombreux rochers nous entourant, je croisais les bras, de telle manière à ce que le manche de mon sabre ne soit qu’à quelque deux, trois centimètre de ma main gauche, des fois que notre ami Varia ait une soudaine pulsion meurtrière, cette fois je ne me laisserais pas faire et s’il essayait de faire la moindre attaque, ma lame allait faire trempette dans sans ses veines…




[HRP : * Sasuke Potter :

Spoiler:

]

- Je suis Pietranera Ray, homme de main des Vongola et si ça ne te dérange pas, j’aimerai pouvoir rentrer au manoir car comme tu peux le remarquer le soleil est sur le point de ce coucher et je doute que ça soit une bonne chose pour nous de traverser une forêt inconnu ou même de rester ici, alors à moins que tu ne cherche quelque chose de particulier, je te propose que l’on sur le champ. Oh et j’allais oublier, tu ferais mieux de faire attention à ce que tu fais, tu pourrais te faire mal…

J'ignora le sarscasme et repondit:

- Bien sur! C'est exactement ce que je voulais faire. Alors, c'est par ou? demandais-je, pressé d'etre débarrassé de lui.

- Par la. dit-il en me pointant une direction du doigt.

Il commenca a marcher vers la direction en question. Je lui emboita le pas, a contrecoeur, puis m'absorba dans mes pensées. Je m'etait mis en colère pour rien, encore. J'aurais préféré mourrir que de l'admettre, mais je le savait. Et en plus, mon si magnifique et si sexy boss, que je n'avait pas réussis a trouver sur le bateau, me rendait fou. Pourtant, je n'arrive  pas a lui dire quel effet il a sur moi. Tout cela est relativement nouveau pour moi. Lorsque je le voit, je sens des papillons dans mon estomac, je rougit et mon brave "ami" veux se faire remarquer... Bien sur, j'essaie de cacher mon trouble, mais sa ne marche pas toujours. C'est qu'il veux se faire voir l'ami! Je revin sur terre lorsque j'arriva enfin en avant du manoir. Puisque je n'avait rien mangé depuis des lustres, je me dirigea vers la cuisine.

- Adios, mec!dis-je a Ray en entrant dans la cuisine, lui fermant la porte au nez.